avatar

Saint ou Sans-Valentin ? - Les résultats

Publié par Fantah - le 24 février 2020
Viens voir les résultats…

Vous avez été nombreux à participer pour cet événement et je vous en remercie. J’ai pu remarquer que le concours sur la lettre d’amour avait beaucoup plu.
Ça n’a pas été évident de vous départager mais cependant il a fallu faire un choix ! Sans plus tarder voici les résultats des différents concours :


Concours de Look

La personne qui a réalisé le nouveau look de Cupidon est Aqueselle avec son chérubin totalement dénudé et son regard rose perçant !
Félicitation à lui qui remporte un badge inédit ainsi qu’un trophée Wibbo dédicacé.

Concours Pixel Art
Le thème de ce concours était plutôt vaste, ce qui m’a permis d’obtenir quelques belles créations. Mais comme il doit n’y avoir qu’un(e) gagnant(e) j’ai dû choisir et c’est Saanji qui sort grande gagnante avec son coucher de soleil sous un cerisier japonais.
Félicitation à lui qui remporte son badge ainsi qu’un trophée Wibbo dédicacé.

Concours Lettre d’amour
Avec un grand nombre de participations pour l’écriture, je n’ai pas pu choisir qu’une seule lettre. C’est pourquoi il y aura donc 3 gagnants.
Chacun repartira avec un badge inédit ainsi qu’avec un trophée concours d’écriture Or Argent ou Bronze selon la place !

AshtraySun

03H07, 14 février, et elle n'est pas là. Je m’endors en pensant à elle. A son corps, un peu. Mais à elle surtout. A elle avec son corps autour. Puis un sursaut dans les tympans… Saloperies de chansons d’amour... Toujours aussi sournoises à nous faire courber l'échine en moins de quatre minutes, tranchantes banderilles dans nos cœurs. Impossible de dormir, et pourtant je me mets soudainement à sourire. Je souriais et je me suis mise à pleurer à chaudes larmes. Sourire me permettait de pleurer, enfin. Je pleure parce que mon cœur s’est remis à battre alors que je n’y croyais plus depuis longtemps. Et je souris. Et c’est nouveau. Et c’est bon, c’est beau d’avoir le corps qui lâche, la dureté qui cède, le masque qui tombe, le chagrin qui fond. Beau comme une femme qui connait par cœur le prix de la solitude et dépose enfin les armes.
03h24. Je réfléchis, cerveau qui tourne encore à cent à l’heure. Je repense à tous ces mots, tous ces gestes, tous ces sentiments qui sans cesse se taisent et s’emmêlent dans ma tête, laissant mes lèvres muettes. Je songe une millième fois à mon incapacité à dire à la personne que j’aime que je l’aime, et toute la passion que je ressens pour elle. Par peur d’effrayer peut-être, puisque j’ai toujours cru qu’on ne pouvait m’aimer que sur un malentendu, ou bien à cause de cette hantise de finir encore brisée. Car il est vrai que je suis pleine du silence assourdissant de l’aimer, et que sans la chercher, je la retrouve de tous les côtés. Dans chaque pièce qui compose mon appartement, dans les effluves d’un parfum qui embaume le cœur, ou encore dans ces rues où je marchais bien mieux quand ma main serrait la sienne.
03h32. Ressurgissent des souvenirs qui me tiennent chaud, comme si mes lèvres avaient gardé le goût de sa peau, à croire que son être tout entier est un endroit qui a marqué ma vie... Alors je me plais à me dire que tout serait probablement plus simple maintenant, en fait j’ai fini par y croire dur comme fer, à force de son regard, de ses lèvres, à force d’elle... Et grâce à elle, je sais enfin ce que je veux, et je ne peux ni ne veux revenir en arrière. Je veux ressentir chaque jour qui m’est offert de vivre, tout ce que j’ai vécu les nuits dernières quand elle était là, et les jours d’encore avant... Me blottir dans ses bras où tout n’est que tendresse, m’endormir contre elle, vivre indéfiniment ces nuits d’ivresse qui rendent nos cœurs et nos corps fous. Je crois bien que c'est ça le vrai amour… Avoir l'impression d'être dans sa vie, pas à côté. Au bon endroit. Ne pas avoir besoin de se forcer ou de se tortiller pour plaire à l'autre, rester comme on est, accepter la lutte, l'effort, le doute, et d'avancer, d'avancer en franchissant chaque obstacle.
En parlant d’obstacle tiens, distance, je te hais. C’est simple, c’est dit, c’est tout. C’est tout ce que je déteste… Avoir le ventre serré et me sentir flancher sur le quai de la gare, retenir mes larmes jusqu’au moment où ses yeux arrêterons de se poser sur moi et que le train l’emmènera chaque seconde un peu plus loin de moi. Puis rentrer en traînant des pieds, les mains au fond des poches et la musique dans les oreilles, en me rappelant que quelques minutes plus tôt… Mes pieds foulaient les mêmes pavés que les siens, mes mains étaient au creux des siennes, et sa voix embaumait mon cœur de sa douce mélodie. Puis vient l’heure de rentrer. La porte s’ouvre lentement sur mon appartement vide de toute forme de vie et je vois tout, je sens tout, mille détails entrent en moi comme de longues échardes et m'écorchent vive. J’ai besoin de pleurer. Je ne sais pas pourquoi. J’ai surement trop de bonnes raisons. Elle me manque. Cette raison-là fera l'affaire. Je cherche comme à chaque fois son t-shirt des yeux, m'en empare et le serre contre moi comme on applique un garrot sur une blessure.
04h03. Pardon, ça part dans tous les sens, je me suis pris les pieds dans mes émotions. Je vais mal, en ce moment. Cette apparence dégagée et apaisée que j'ai entretenue si longtemps se craquelle, et il en émerge un bric-à-brac de contradictions et de sentiments. Il va bien falloir que je finisse par choisir. Aller dans une direction, mais laquelle ?
04h12. Non Camille, question de merde, question rhétorique. La seule direction à prendre, celle indiquée par des panneaux lumineux arborant de grandes flèches rouges, c’est celle de mon cœur. A bat la raison, à bat les avis qui divergent, je dois suivre mon cœur. Je dois la rejoindre elle, je dois vivre, parce que je l’aime réellement, maladroitement, et que bordel, l’aimer c’est vivre.
05h16. Ça y est, je crois que mon corps s’est vidé des 90% d’eau dont il est composé. Mes yeux rouges se ferment mais luttent. La musique s’éteint lentement, ton odeur me tient compagnie. Finalement, la souffrance, c'est magnifique ... C'est magnifique quand le mal est passé parce qu'on apprend, parce qu'on comprend... Alors je me laisse aller à la pensée de tes bras autour de mon corps, de ta peau sur la mienne, tout mon corps t’aime. Joyeuse Saint-Valentin de loin, mon Amour.

WHIZ

T'aimer est mon chemin qui mène vers demain.
T'aimer est mon destin ou tous devient festin.
Tu es le sel de mes jours,le sucre de mes fruits.
Ma vie sans toi perd toute sa saveur.
Tu es ma voie qui mene vers la splendeur.
Tu es dans mon cœur aimant le plus doux des docteurs.
Oh mon ame sœur je t'aie avec force et douceur.
Reste en ma vie des annees encore mon tendre trésor.
J'ai tellement de bonheur pour toi que je t'aime si fort.
Ton aimé Yannis.

Alcatel

J'pense à toi, j'pense à nous deux mais quand je te regarde,
Je me sépare de mon corps, même mes yeux deviennent gris et mes jambes me lâchent...
Je ne sens plus la douleur quand nos regards s'alignent
Pour moi j'suis un poison et c'est toi l'antidote

Je m'étais promise de ne plus jamais aimer,
Même si ça prend du temps j'essaye d'y remédier
Dans mes bras toi tu seras en sûreté,
J'avoue que c'est dur à comprendre, pour moi t'es mon coup de cœur à vie

Non je n'ai pas su changer les choses
J'ai pas pu tenir ce que je me suis promise
Mon cerveau se remplit d'image de nous deux et je me sens différente, je fais que l'imaginer dans mes bras,
Et tu t'en vas et tu me laisses vide mais pour moi j'ai rien si je t'ai pas, je te veux toi ou je veux rien, dans mes yeux je ne vois que les tiens..

Je te fais perdre ton temps car depuis le début je fait semblant de bien aller, comme si je ne ressentais rien je vais pas trop m'étaler, saigner fallait, blessé je l'étais, perdu entre mensonge et fausse vérité, tu sais je ne dors plus moi. Je ne sais pas si je t'aime ou si je suis folle de toi... Même mon sourire veut me l'a mettre a l'envers..

De toute façon je veux plus trop qu'on s'explique.
Des fois j'ai juste envie de tout foutre en l'air, de partir avec mon malaise car l'amour, c'est pas mon fort, je n'arrive pas à arrêter de t'aimer même si le temps passe et moi je reste plantée là, je sais que toi t'as plus mal je le vois dans tes yeux, mais les miens deviennent plus noirs mais je suis trop fière pour demander rien qu'un peu d'aide.

J'ai beau te revoir partout je suis encore seule... Il me faudrait une armée pour tenir longtemps,
Tu peux m'en vouloir j'suis pas à la hauteur Mais j'essaie encore Je peux même affronter le destin,
Car au fond, je t'aime, mais j'ai peur de qui je suis et des questions que je me pose Je ne sais pas si je t'aime ou si je suis folle de toi

Aujourd'hui tu fais avec, demain plus rien ne t'atteindra 
À ce qu'il paraît, tu vis ta vie, moi je passe mon temps a penser à toi,
Mais tous ces souvenirs coincés dans ma tête
Je pourrais te le dire mais j'ai trop de fierté

Penser à toi me fais atteindre des sommets, la nuit, je n'ai plus sommeil
Dans mes rêves j'imagine qu'on est deux, moi je mens mais toi tu es plus là.
On aurait dit la fin d'un film triste 
Ce flash tourne encore en boucle bruyant comme la mort dans une belle chanson

Mais tu voyais qu'on se voilait la face, sans pour autant vouloir arrêter
Pour l'éternité, je nous imaginerai ensemble
Tu sais que pour toi je veux le meilleur tu sais que pour toi j'aurais tout faitJe perds la tête mais pas trop car tu es dans ma tête et je veux pas te perdre,
Qui sera le plus fort l'amour que j'ai pour toi, la haine que j'ai pour eux

Je t'ai caché mon amour, un jour il a pourri 
Maintenant qu'il a pourri, je ne veux plus te l'offrir
J'essaye de m'éloigner de toi Mais si je m'éloigne de toi, j'me rapproche de l'enfer
Et ces temps si, tu ne fais que hanter mes pensées même si tu dis : "Mon amour est faux" mais dans le fond qu'es t'en sait ?

On finira de s'aimer ; uniquement quand l'un de nos deux cœurs s'arrêtera
J'accepterais tous tes pardons mais tu me tires dans le cœur Tu tires à l'automatique.
J'irais jusque à me crever les yeux pour plus te voir avec une autre J'irais jusqu'à me dire adieu pour revivre l'histoire qui fut la nôtre Même quand tu fais rien tu m'épates Et qu'es tu dis de moi devant tes potes ? Moi je vois que toi..
Attends, je t'explique le contexte Je veux pas souffrir mais je me conteste
Appart ta main j'vois pas d'autre gain.
Quand j'parle de toi, jamais l'impression que je me répète.

 

- Fantah, Love Coordinator.